Le numéro de septembre 2021 commence par l’histoire de l’aviateur Victor Garaix et poursuit avec un dossier « Société » : l’Académie Gauloise montilienne, un siècle de boules à Montélimar, la vie quotidienne au château de Châteauneuf-de-Galaure entre 1780 et 1790.
Victor Garaix, As de l’aviation, détenteur de 41 records mondiaux en 1914
Victor-Claude Rosset
Le Taulignanais Victor Garaix a marqué les débuts de l’aviation avant la Première Guerre mondiale durant laquelle il fut abattu au cours d’une mission. À 23 ans, en 1914, il détenait 41 records mondiaux sur 138 : altitude, distance, durée, vitesse, nombre de passagers… Une histoire racontée à partir de documents originaux conservés par la famille.
Société
L’Académie Gauloise fondée à Montélimar en 1961
Marylène Marcel Ponthier
Le rire est le principal objectif de l’Académie Gauloise. Celle de Montélimar fondée en 1961 avait pour but de remettre chaque année un prix à un humoriste mais surtout créer une confrérie et se réunir autour d’un bon gueuleton. Cet « Ordre du Franc-Rire » a accueilli quelques Montiliens notoires.
Des « Clos » au Stade Bouliste à Montélimar au cours d’un siècle
Michel et Claude Seyve
La partie de boules du dimanche, avant la constitution des « Clos », des associations et des stades ne manquait pas de cachet à Montélimar il y a un siècle. À présent, l’activité est davantage pensée mais le « jeu » persiste. Histoire d’une évolution bien montilienne.
La vie quotidienne au château de Châteauneuf-de-Galaure entre 1780 et 1790
Frédérique de Lambert
Comptes et inventaires révèlent la vie menée pendant dix ans au château de Châteauneuf-de-Galaure dont Laurent de Montchenu, commandant en second pour le roi en Vivarais, a fait sa résidence. Tout y est détaillé : les dépenses de cuisine, les dépenses particulières : berline, fleurs, volière…, les vêtements et soins du corps, les loisirs, la bibliothèque…
Le Prieuré de Charrière
Jean Bonin
L’incroyable réussite d’un impensable sauvetage ou les péripéties vécues par l’association « Patrimoine Castelneuvois » pour faire restaurer le prieuré, en découvrir l’histoire et y permettre des animations culturelles.
Quand un peintre invente un Chemin de Croix, Église de Séderon – 1943
André Poggio
Réalisé en des temps troublés et à un moment où l’art de la fresque était tombé en désuétude, le Chemin de Croix de l’église de Séderon, peint « a fresco » par le peintre verrier André Seurre, est ici interprété au-delà des symboles religieux.
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